Ce système de santé qui coûte extrêmement cher à l’état est pourri jusqu'à l'os, et particulièrement, le domaine de la psychiatrie.
Des associations, des professionnels de santé dont quelques pédopsychiatres, des psychiatres et des psychologues, des journalistes, etc. tentent d'alerter depuis des décennies sur cette terrible situation.
Tout ça pourquoi ? Parce que l’on profite des personnes en souffrance de la psyché, c’est le business de la tristesse. Les patients ou leurs proches qui se sentent lésés ne pourront que rarement obtenir justice car il leur faut des certificats médicaux et ils n’en obtiendront quasiment jamais.
La grande majorité des patients subissent des pratiques de contention chimique, avec des conséquences désastreuses sur leur cerveau, et des méthodes de contention physique, sans justification valable. Ils souffrent de stigmatisation, vu que, entre autres, le fait de prendre des psychotropes se voit souvent sur le visage, surtout dans leur regard, et dans leur attitude, ils marchent parfois au ralenti, la bouche béante.
Bourrés de médicaments, on leur fait un lavage de cerveau ou bien on les réveille d’un sommeil profond pour leur faire signer des demandes de tutelles ou de curatelle. Les plus faibles, les personnes âgées sont les plus touchés par ce genre de pratiques inacceptables.
Ils peuvent rester dans les hôpitaux pendant des semaines, des mois, des années, à vie. On leur fait croire souvent que leur maladie est irréversible alors que peut-être elle ne l’est pas.
On fait faire des activités (sorties, sport, activités thérapeutiques, de soins bien-être etc.) dans les CMP et dans les hôpitaux au patients dit “stabilisés” pour, il semble évident, les amadouer et les récompenser d’accepter d'être drogués sur ordonnance et de supporter les effets secondaires de leur traitement qui sont parfois irréversibles, voire mortels. Alors ils ont trouvé la parade, par exemple, en prescrivant encore d’autre médicaments, les correcteurs d’effets secondaires qui ne les corrigent pas tous, loin de là.
C’est pareil pour l’AAH, qui, pour les “handicapés mentaux”, s'apparente à une indemnisation pour accepter d’être cobaye, pour des médicaments qui sont souvent mis sur le marché sur la base d'études biaisées, orientées au maximum sur les bénéfices et non sur les risques, et dont les effets se constatent après des années sur les ”patients clients”, d'où les nombreux scandales.
Quand ils sont hospitalisés sous contrainte; parfois à cause de dénonciations sans preuves, rédigées pour les faire soumettre, ils sont tellement cachetonnés qu'ils n'arrivent pas à s'exprimer correctement devant le juge des libertés.
Ils doivent suivre un protocole de soins, dont la médication psychotrope, qui peut, certes, calmer certains de leurs symptômes dans un premier temps, mais contribue, bien souvent et rapidement, à une détérioration de leur santé mentale plutôt qu'une amélioration. D’autant plus qu'on leur prescrit trop rapidement une ordonnance sans même chercher à analyser avec eux, les causes de leurs souffrances et à en trouver des solutions. Ils sont traités de façon déshumanisante et de ce fait condamnés à souffrir.
Ils sont catalogués, porteurs d'une maladie qui, quasiment, ne relève que d'un manuel de diagnostic psychiatrique très controversé car, entre autre, il est accusé d’avoir des liens avec les vendeurs de médicaments et réputé fait par des scientifiques, qui n’ont quasiment même pas fait de recherches scientifiques sur les causes organiques aux souffrances psychiques
L'usage massive des psychotropes fait que leur taux de mortalité est élevée. La cause dite de la mort dans les hôpitaux psychiatriques est souvent la fausse-route, mais alors, le fait d'avaler de travers est-il spécifiquement lié à la maladie mentale ?
Ils sont quasiment toujours considérés comme incapables, dépendants des autres car ils sont lourdement assistés et quasiment pas orientés vers la rémission et l'autonomie.
L'organisation des soins en psychiatrie fait que l'on répond trop souvent à la souffrance en attachant et en médicalisant lourdement et parfois sur de longues périodes, ce qui contribue à aggraver les souffrances de la psyché. Imaginez vous, rien que le sentiment, d’angoisse qui émane de telles pratiques.
La priorité n'est pas axée sur l'intérêt des patients, mais basée sur une politique de sécurité et du rendement.
Les causes de pathologies sous-jacentes aux "troubles" sont rarement recherchées sauf en cas de traumatisme avéré (comme un trauma crânien) sauf si le patient, dans le cas où ses "troubles" le lui permettent, ou l'un de ses proches, a la présence d'esprit de faire des recherches pour demander des examens complémentaires. Sinon, ils restent dans l'ignorance, leurs plaintes, leurs symptômes sont considérés en priorités comme psychosomatiques (même si cela existe aussi) surtout si l’on considère que les "troubles" sont “d'origine héréditaire”. Et ils demeurent dans des souffrances qui auraient peut-être pu être épargnées.
Bien sûr que que la complexité du corps humain fera toujours que les médecins ne pourront jamais tout trouver et qu'ils ne sont pas des magiciens.
Que la gestion de la souffrance de la psyché est quelque chose d'extrêmement compliqué et qu'on a besoin de spécialistes de la santé mentale.
Les psychotropes sont aussi prescrits aux enfants, dès l'âge de trois ans, alors que pourtant de nombreuses voix s'élèvent pour alerter sur leurs possibles effets néfastes et à vie dans leurs petits cerveaux en pleine croissance. Ils les empêchent, comme pour les adultes, de s’exprimer librement et d’apprendre à gérer leurs pensées, leurs émotions, leurs sentiments eux mêmes.
On menace parfois les parents du placement de leurs enfants s’ils refusent la médication psychotrope pour eux-mêmes ou pour leurs enfants.
Ce système en matière de santé mentale fait que sans cesse les personnels des services de l’état tentent d'orienter la population pour le moindre problème, vers des psychologues, et ceux-ci, principalement ceux des CMP et des hôpitaux publics, certes écoutent les récits des patients mais ne les motivent pas beaucoup psychologiquement pour qu'ils aillent mieux dans la durée. Ils prennent des notes qui serviront souvent à détecter, avec le psychiatre, une maladie mentale.
Leurs solutions, en de nombreux cas, est d'orienter les patients vers celui-ci, avec des tentatives de persuasions (comme la gentillesse), de harcèlement psychologique ou de chantage (comme par exemple en refusant de continuer la thérapie si le patient ne souhaite pas prendre des psychotropes même s’il trouve que ceux-ci ne l’aident pas).
Ils sont toujours d'accord avec l'avis du psychiatre, tentent, avec lui de faire un lavage de cerveau au patient pour lui faire accepter leur protocole de soins. Si ce dernier n'est pas du tout d'accord, ils lui imposent le fait qu'il a des problèmes psychologiques, qu'il est malade mental et qu'il le nie.
Tous les personnels des services de l’état sont quasiment toujours d’accord avec l’avis des psychiatres et des psychologues ce qui les amène à la pratique de la maltraitance institutionnelle envers les personnes en souffrance physique.
Les juges sont toujours d'accord avec l'avis des expertises psychiatriques.
Bien sûr qu'ils ne sont pas experts en santé mentale et qu'ils ont besoin d'un avis. Mais la plupart des ces expertises relève de la manipulation car elles expliquent aux uns les "troubles" psychologiques des autres, et en se basant sur leurs comportements et l’avis d’autres psychiatres sans prendre en compte des facteurs psychosociaux, culturels ou organiques.
On dirait une secte, car les personnes n'ont pas leur mots à dire sur leurs propres pensées, leurs émotions, leurs sentiments, ce qui pourrait déterminer de quoi ils souffrent réellement.
Même si les gouvernements consécutifs ont pris quelques mesures, la devise "liberté, égalité, fraternité" n'est pas appliquée dans ce domaine.
Vous justifiez que cette situation est due au manque de moyens financiers des services de santé, de la surcharge de travail des soignants. Je vous réponds que si on l'on arrêtait de vouloir sur-diagnostiquer en psychiatrisant tout et de soigner tout le monde de la même façon, cela ferait des économies et il y aurait moins de patients.
Vous justifiez l'utilisation massive des psychotropes et les pratiques de contention physique en mettant en avant les cas, certes pénibles pour les soignants, de "malades psychiques" difficiles et/ou violents.
Je vous réponds qu'on ne soigne pas tout le monde de la même façon et que certaines des drogues qu'on leur impose peuvent peut-être les calmer dans un premier temps, mais que dans la durée elles les empirent.
Vous allez prétendre que je ne suis pas un médecin bourré de diplômes, une savante qui a eu un prix Nobel, une réalisatrice avec un Oscar, une observatrice mandatée par l’état, que je n'ai pas eu la légion d'honneur, donc que je ne possède pas suffisamment de savoir pour que mon analyse du système de soins dans ce pays, la France, ne reflète pas la réalité.
Déjà je ne suis pas un dictateur, j’accepte que les autres ne soient pas d’accord avec mon analyse de ce système de soins en matière de psychiatrie. C'est selon moi, ce système psychiatrique qui est une dictature, et je vous réponds qu'elle est basée sur les témoignages que j'ai pu lire ou entendre, sur ma propre expérience, sur tout ce que j'ai vu et subi dans l'enfer de la psychiatrie.
Je sais de quoi je parle, j’ai toujours été suivie par des pédopsychiatres, des psychiatres et des psychologues. J’ai fait tous les services de la psychiatrie conventionnelle, foyers spécialisées, CMP et hôpitaux, depuis petite.
J’ai d’abord eu, depuis l’enfance, une pathologie organique avec "troubles" psychiques, et qui n'a été détectée que très tardivement à l'âge adulte, mais qui aurait pu facilement l'être avant.
Après j’ai gravement souffert du retard de diagnostic de celle-ci mais on a préféré considérer que c'était moi la malade mentale et que je devais me faire soigner plutôt que d’admettre que c’est ce système psychiatrisé qui est malade et qui doit se faire soigner.
J'y ai perdu presque la moitié de ma vie et encore si je meurs très vieille.
Je m'en suis sortie, non pas grâce à la "science" psychiatrique, mais en cherchant des solutions à mes problèmes de souffrance de la psyché, notamment grâce à internet, car heureusement qu'on a encore la liberté d'expression dans ce pays par ce biais là; et je les ai trouvées.
Je peux vous certifier qu'il y a des personnes bien plus compétentes que les "professionnels" en santé psychique. Que j'ai toute ma tête, que vos psycho-drogues m’ont plus enfoncée qu’aidée et même que tous mes problèmes de santé se sont arrangés.
Car j'ai fini par moi-même comprendre les mécanismes physiologiques que cette "science" n'avait jamais pu trouver. Et j'ai cessé d'être manipulée par ce système psychiatrisé.
Et mes derniers mots seront que, je pense que si vous continuez à ne pas prendre de mesure concrète pour que cette situation cesse et que justice soit faite pour les victimes de la psychiatrie c'est que, je pense:
Premièrement que vous êtes contrôlés par une organisation mondiale, qui est elle même contrôlée pour la santé mentale par une célèbre association de psychiatrie, les rédacteurs de ce manuel controversé.
Deuxièmement, c'est parce certains d’entre vous magouillent avec d’autres.
Troisièmement, c'est parce que cette situation engendre des emplois et que vous avez peur que les chiffres du chômage augmentent sous votre mandat.
Sur ce dernier point, je pense que les emplois pourraient être maintenus, si l’on procéde autrement en matière de santé mentale. D’autres, principalement les pays scandinaves de l'union européenne fonctionnent autrement dans ce domaine avec une meilleure qualité de soins et il n’ont pas forcément des taux de chômage plus élevés que le nôtre.
Des associations, des professionnels de santé dont quelques pédopsychiatres, des psychiatres et des psychologues, des journalistes, etc. tentent d'alerter depuis des décennies sur cette terrible situation.
Tout ça pourquoi ? Parce que l’on profite des personnes en souffrance de la psyché, c’est le business de la tristesse. Les patients ou leurs proches qui se sentent lésés ne pourront que rarement obtenir justice car il leur faut des certificats médicaux et ils n’en obtiendront quasiment jamais.
La grande majorité des patients subissent des pratiques de contention chimique, avec des conséquences désastreuses sur leur cerveau, et des méthodes de contention physique, sans justification valable. Ils souffrent de stigmatisation, vu que, entre autres, le fait de prendre des psychotropes se voit souvent sur le visage, surtout dans leur regard, et dans leur attitude, ils marchent parfois au ralenti, la bouche béante.
Bourrés de médicaments, on leur fait un lavage de cerveau ou bien on les réveille d’un sommeil profond pour leur faire signer des demandes de tutelles ou de curatelle. Les plus faibles, les personnes âgées sont les plus touchés par ce genre de pratiques inacceptables.
Ils peuvent rester dans les hôpitaux pendant des semaines, des mois, des années, à vie. On leur fait croire souvent que leur maladie est irréversible alors que peut-être elle ne l’est pas.
On fait faire des activités (sorties, sport, activités thérapeutiques, de soins bien-être etc.) dans les CMP et dans les hôpitaux au patients dit “stabilisés” pour, il semble évident, les amadouer et les récompenser d’accepter d'être drogués sur ordonnance et de supporter les effets secondaires de leur traitement qui sont parfois irréversibles, voire mortels. Alors ils ont trouvé la parade, par exemple, en prescrivant encore d’autre médicaments, les correcteurs d’effets secondaires qui ne les corrigent pas tous, loin de là.
C’est pareil pour l’AAH, qui, pour les “handicapés mentaux”, s'apparente à une indemnisation pour accepter d’être cobaye, pour des médicaments qui sont souvent mis sur le marché sur la base d'études biaisées, orientées au maximum sur les bénéfices et non sur les risques, et dont les effets se constatent après des années sur les ”patients clients”, d'où les nombreux scandales.
Quand ils sont hospitalisés sous contrainte; parfois à cause de dénonciations sans preuves, rédigées pour les faire soumettre, ils sont tellement cachetonnés qu'ils n'arrivent pas à s'exprimer correctement devant le juge des libertés.
Ils doivent suivre un protocole de soins, dont la médication psychotrope, qui peut, certes, calmer certains de leurs symptômes dans un premier temps, mais contribue, bien souvent et rapidement, à une détérioration de leur santé mentale plutôt qu'une amélioration. D’autant plus qu'on leur prescrit trop rapidement une ordonnance sans même chercher à analyser avec eux, les causes de leurs souffrances et à en trouver des solutions. Ils sont traités de façon déshumanisante et de ce fait condamnés à souffrir.
Ils sont catalogués, porteurs d'une maladie qui, quasiment, ne relève que d'un manuel de diagnostic psychiatrique très controversé car, entre autre, il est accusé d’avoir des liens avec les vendeurs de médicaments et réputé fait par des scientifiques, qui n’ont quasiment même pas fait de recherches scientifiques sur les causes organiques aux souffrances psychiques
L'usage massive des psychotropes fait que leur taux de mortalité est élevée. La cause dite de la mort dans les hôpitaux psychiatriques est souvent la fausse-route, mais alors, le fait d'avaler de travers est-il spécifiquement lié à la maladie mentale ?
Ils sont quasiment toujours considérés comme incapables, dépendants des autres car ils sont lourdement assistés et quasiment pas orientés vers la rémission et l'autonomie.
L'organisation des soins en psychiatrie fait que l'on répond trop souvent à la souffrance en attachant et en médicalisant lourdement et parfois sur de longues périodes, ce qui contribue à aggraver les souffrances de la psyché. Imaginez vous, rien que le sentiment, d’angoisse qui émane de telles pratiques.
La priorité n'est pas axée sur l'intérêt des patients, mais basée sur une politique de sécurité et du rendement.
Les causes de pathologies sous-jacentes aux "troubles" sont rarement recherchées sauf en cas de traumatisme avéré (comme un trauma crânien) sauf si le patient, dans le cas où ses "troubles" le lui permettent, ou l'un de ses proches, a la présence d'esprit de faire des recherches pour demander des examens complémentaires. Sinon, ils restent dans l'ignorance, leurs plaintes, leurs symptômes sont considérés en priorités comme psychosomatiques (même si cela existe aussi) surtout si l’on considère que les "troubles" sont “d'origine héréditaire”. Et ils demeurent dans des souffrances qui auraient peut-être pu être épargnées.
Bien sûr que que la complexité du corps humain fera toujours que les médecins ne pourront jamais tout trouver et qu'ils ne sont pas des magiciens.
Que la gestion de la souffrance de la psyché est quelque chose d'extrêmement compliqué et qu'on a besoin de spécialistes de la santé mentale.
Les psychotropes sont aussi prescrits aux enfants, dès l'âge de trois ans, alors que pourtant de nombreuses voix s'élèvent pour alerter sur leurs possibles effets néfastes et à vie dans leurs petits cerveaux en pleine croissance. Ils les empêchent, comme pour les adultes, de s’exprimer librement et d’apprendre à gérer leurs pensées, leurs émotions, leurs sentiments eux mêmes.
On menace parfois les parents du placement de leurs enfants s’ils refusent la médication psychotrope pour eux-mêmes ou pour leurs enfants.
Ce système en matière de santé mentale fait que sans cesse les personnels des services de l’état tentent d'orienter la population pour le moindre problème, vers des psychologues, et ceux-ci, principalement ceux des CMP et des hôpitaux publics, certes écoutent les récits des patients mais ne les motivent pas beaucoup psychologiquement pour qu'ils aillent mieux dans la durée. Ils prennent des notes qui serviront souvent à détecter, avec le psychiatre, une maladie mentale.
Leurs solutions, en de nombreux cas, est d'orienter les patients vers celui-ci, avec des tentatives de persuasions (comme la gentillesse), de harcèlement psychologique ou de chantage (comme par exemple en refusant de continuer la thérapie si le patient ne souhaite pas prendre des psychotropes même s’il trouve que ceux-ci ne l’aident pas).
Ils sont toujours d'accord avec l'avis du psychiatre, tentent, avec lui de faire un lavage de cerveau au patient pour lui faire accepter leur protocole de soins. Si ce dernier n'est pas du tout d'accord, ils lui imposent le fait qu'il a des problèmes psychologiques, qu'il est malade mental et qu'il le nie.
Tous les personnels des services de l’état sont quasiment toujours d’accord avec l’avis des psychiatres et des psychologues ce qui les amène à la pratique de la maltraitance institutionnelle envers les personnes en souffrance physique.
Les juges sont toujours d'accord avec l'avis des expertises psychiatriques.
Bien sûr qu'ils ne sont pas experts en santé mentale et qu'ils ont besoin d'un avis. Mais la plupart des ces expertises relève de la manipulation car elles expliquent aux uns les "troubles" psychologiques des autres, et en se basant sur leurs comportements et l’avis d’autres psychiatres sans prendre en compte des facteurs psychosociaux, culturels ou organiques.
On dirait une secte, car les personnes n'ont pas leur mots à dire sur leurs propres pensées, leurs émotions, leurs sentiments, ce qui pourrait déterminer de quoi ils souffrent réellement.
Même si les gouvernements consécutifs ont pris quelques mesures, la devise "liberté, égalité, fraternité" n'est pas appliquée dans ce domaine.
Vous justifiez que cette situation est due au manque de moyens financiers des services de santé, de la surcharge de travail des soignants. Je vous réponds que si on l'on arrêtait de vouloir sur-diagnostiquer en psychiatrisant tout et de soigner tout le monde de la même façon, cela ferait des économies et il y aurait moins de patients.
Vous justifiez l'utilisation massive des psychotropes et les pratiques de contention physique en mettant en avant les cas, certes pénibles pour les soignants, de "malades psychiques" difficiles et/ou violents.
Je vous réponds qu'on ne soigne pas tout le monde de la même façon et que certaines des drogues qu'on leur impose peuvent peut-être les calmer dans un premier temps, mais que dans la durée elles les empirent.
Vous allez prétendre que je ne suis pas un médecin bourré de diplômes, une savante qui a eu un prix Nobel, une réalisatrice avec un Oscar, une observatrice mandatée par l’état, que je n'ai pas eu la légion d'honneur, donc que je ne possède pas suffisamment de savoir pour que mon analyse du système de soins dans ce pays, la France, ne reflète pas la réalité.
Déjà je ne suis pas un dictateur, j’accepte que les autres ne soient pas d’accord avec mon analyse de ce système de soins en matière de psychiatrie. C'est selon moi, ce système psychiatrique qui est une dictature, et je vous réponds qu'elle est basée sur les témoignages que j'ai pu lire ou entendre, sur ma propre expérience, sur tout ce que j'ai vu et subi dans l'enfer de la psychiatrie.
Je sais de quoi je parle, j’ai toujours été suivie par des pédopsychiatres, des psychiatres et des psychologues. J’ai fait tous les services de la psychiatrie conventionnelle, foyers spécialisées, CMP et hôpitaux, depuis petite.
J’ai d’abord eu, depuis l’enfance, une pathologie organique avec "troubles" psychiques, et qui n'a été détectée que très tardivement à l'âge adulte, mais qui aurait pu facilement l'être avant.
Après j’ai gravement souffert du retard de diagnostic de celle-ci mais on a préféré considérer que c'était moi la malade mentale et que je devais me faire soigner plutôt que d’admettre que c’est ce système psychiatrisé qui est malade et qui doit se faire soigner.
J'y ai perdu presque la moitié de ma vie et encore si je meurs très vieille.
Je m'en suis sortie, non pas grâce à la "science" psychiatrique, mais en cherchant des solutions à mes problèmes de souffrance de la psyché, notamment grâce à internet, car heureusement qu'on a encore la liberté d'expression dans ce pays par ce biais là; et je les ai trouvées.
Je peux vous certifier qu'il y a des personnes bien plus compétentes que les "professionnels" en santé psychique. Que j'ai toute ma tête, que vos psycho-drogues m’ont plus enfoncée qu’aidée et même que tous mes problèmes de santé se sont arrangés.
Car j'ai fini par moi-même comprendre les mécanismes physiologiques que cette "science" n'avait jamais pu trouver. Et j'ai cessé d'être manipulée par ce système psychiatrisé.
Et mes derniers mots seront que, je pense que si vous continuez à ne pas prendre de mesure concrète pour que cette situation cesse et que justice soit faite pour les victimes de la psychiatrie c'est que, je pense:
Premièrement que vous êtes contrôlés par une organisation mondiale, qui est elle même contrôlée pour la santé mentale par une célèbre association de psychiatrie, les rédacteurs de ce manuel controversé.
Deuxièmement, c'est parce certains d’entre vous magouillent avec d’autres.
Troisièmement, c'est parce que cette situation engendre des emplois et que vous avez peur que les chiffres du chômage augmentent sous votre mandat.
Sur ce dernier point, je pense que les emplois pourraient être maintenus, si l’on procéde autrement en matière de santé mentale. D’autres, principalement les pays scandinaves de l'union européenne fonctionnent autrement dans ce domaine avec une meilleure qualité de soins et il n’ont pas forcément des taux de chômage plus élevés que le nôtre.